CAC 40 | Perf Jour | Perf Ytd |
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7623.89 | +1.54% | +1.17% |
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Pictet TR - Atlas | 5.92% |
Jupiter Merian Global Equity Absolute Return | 5.74% |
AXA WF Euro Credit Total Return | 5.73% |
Cigogne UCITS Credit opportunities | 4.40% |
Fidelity Absolute Return Global Equity Fund | 4.12% |
Exane Pleiade | 3.84% |
Candriam Bonds Credit Alpha | 3.45% |
Syquant Capital - Helium Selection | 3.43% |
Sanso MultiStratégies | 3.30% |
DNCA Invest Alpha Bonds | 3.06% |
Candriam Absolute Return Equity Market Neutral | 2.52% |
M&G (Lux) Episode Macro Fund | 2.52% |
H2O Adagio | 0.80% |
Vivienne Bréhat | -6.17% |
Les actions des marchés émergents affectés par l'inflation...
En avril, les actions des marchés émergents se sont comportées de façon hétérogène. Alors qu’une tendance fondamentale plus faible prédominait surtout en Amérique latine et en Asie, l’Europe de l’Est s’est détachée de façon positive avec des hausses de cours partiellement marquées. La plupart des marchés émergents, en Asie et en Amérique latine, n’ont pu de ce fait profiter des conditions favorables persistantes du marché des actions US. Les facteurs négatifs majeurs sont fondamentalement restés les mêmes qu’au cours des semaines et des mois précédents : hausse des taux d’inflation, menaces de relèvement ou relèvements effectifs des taux d’intérêts par les banques centrales (qui attisent les craintes d’un net affaiblissement de la croissance sur les marchés émergents) ainsi que le prix élevé des matières premières. Ces derniers éléments représentent pour les marchés émergents une affaire à double tranchant : alors que les exportateurs en profitent largement, les hausses de coûts des matériaux et des matières premières ont déjà une incidence négative sur les marges bénéficiaires de nombreuses entreprises des marchés émergents.
Compte tenu de la vie trépidante de notre époque, les réacteurs nucléaires et leurs avaries ont rapidement été perdus de vue par les investisseurs dès qu’il s’est avéré qu’il n’y aurait pas de nouvelle aggravation de la situation. Après la politique d’information en partie catastrophique de l’exploitant TEPCO et du gouvernement japonais, il convient de considérer tous les messages de réussite avec beaucoup de prudence. Pour les marchés financiers, le plus gros risque (difficilement quantifiable) pour le marché des actions japonais est provisoirement écarté. Le plus gros problème à moyen et long terme, à savoir l’énorme endettement de l’Etat japonais, subsiste toujours. Selon toute vraisemblance, aucun risque aigu ne devrait en résulter à court terme, mais il pourrait plutôt se manifester dans les années qui viennent. Cette situation ne joue ainsi aucun rôle pour les investisseurs, axés pour la plupart sur une vision à plus court terme. La même chose vaut – bien que dans une moindre mesure – pour la solvabilité des Etats-Unis. L’agence de notation S&P s’est contentée de laisser entrevoir la menace de perte pour les Etats-Unis de la notation la plus élevée « AAA » au cours des prochaines années. La réaction des marchés a été pratiquement nulle ces derniers temps. On se heurte de façon générale à une problématique intéressante : si les Etats-Unis en tant que superpuissance mondiale et détenteurs de la devise de réserve mondiale perdent la meilleure notation de solvabilité – qui mérite alors cette notation et par voie de conséquence quel crédit peut on accorder à cette notation ? Pour combien de temps encore le dollar US restera-t-il la devise de réserve mondiale, si la solvabilité qui lui sert de fondement est de plus en plus remise en question ? Ce dernier élément semble manifestement représenter un facteur central compte tenu de l’envolée des prix de l’or et de l’argent. Les métaux précieux sont de plus en plus considérés comme une devise ou redécouverts en tant que tels – notamment par les marchés émergents tels que la Chine ou l’Inde.
La faiblesse accrue du dollar ne semble pas poser de problème à la banque centrale américaine, même s’il faut y voir un résultat possible de l’extrême souplesse de sa politique monétaire. Lors d’une conférence de presse très attendue, le chef de la FED, Bernanke, a confirmé que l’actuel programme d’achat d’obligations d’Etat (« QE 2 ») se terminerait en milieu d’année. Il a également légèrement corrigé à la baisse les prévisions conjoncturelles. Il est ainsi moins vraisemblable que l’on procède à des relèvements des taux d’intérêts aux Etats-Unis dans un proche avenir.
Les économies nationales des marchés émergents en Chine et en Amérique latine sont toujours axées sur la croissance. PIB et production industrielle ont souvent nettement dépassé les niveaux enregistrés avant la survenance de la crise économique et financière mondiale. Entre-temps, on constate un affaiblissement partiel de la croissance. Les économies nationales d’Europe centrale et orientale sont toujours en phase de reprise. La hausse de la production industrielle qui résulte de l’augmentation de la demande étrangère assure la croissance de l’emploi. De façon générale, on assiste ces derniers temps à une légère baisse du niveau des prix, alors qu’en début d’année, la hausse des prix des produits alimentaires exerçait une pression inflationniste. Les perspectives générales pour les devises des PECO restent positives – le commerce extérieur et la perspective d’une hausse des taux d’intérêts devraient continuer à leur servir de soutien.
Source : Raiffeisen
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