CAC 40 | Perf Jour | Perf Ytd |
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7623.89 | +1.54% | +1.17% |
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Pictet TR - Atlas | 5.92% |
Jupiter Merian Global Equity Absolute Return | 5.74% |
AXA WF Euro Credit Total Return | 5.73% |
Cigogne UCITS Credit opportunities | 4.40% |
Fidelity Absolute Return Global Equity Fund | 4.12% |
Exane Pleiade | 3.84% |
Candriam Bonds Credit Alpha | 3.45% |
Syquant Capital - Helium Selection | 3.43% |
Sanso MultiStratégies | 3.30% |
DNCA Invest Alpha Bonds | 3.06% |
Candriam Absolute Return Equity Market Neutral | 2.52% |
M&G (Lux) Episode Macro Fund | 2.52% |
H2O Adagio | 0.80% |
Vivienne Bréhat | -6.17% |
🔚 C’est la grande question de ce début d’année : la hausse des taux va-t-elle mettre fin au super cycle des valeurs de croissance ?
« La hausse des taux devrait être indolore pour nos valeurs de croissance », estime Carl Auffret.
Une rotation sectorielle logique
La sous-performance des valeurs de croissance depuis le 1er janvier n’est pas une surprise pour le gérant. « On ne peut pas toujours performer ».
Les causes sont classiques :
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L’inflation durablement plus élevée pousse les banques centrales à restreindre leur politique monétaire. De facto, le marché se repositionne sur des actifs à duration plus courte (valeurs cycliques et financières) au détriment des actifs à duration plus longue (valeurs de croissance qualité). « La visibilité est pénalisée » constate Carl Auffret.
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L’anticipation d’une sortie de crise sanitaire.
Mais il faut garder en tête les conséquences opérationnelles qu’entraîne une inflation plus élevée et une hausse des taux. Le gérant estime qu’elles peuvent être indolores avec les armes que sont :
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Le pricing power contre l’inflation : nombre de valeurs de qualité/croissance peuvent passer des hausses de prix sans impact sur leur part de marché, à l’image du secteur du luxe.
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Un faible endettement : « Une hausse de taux de 20 à 40 points de base est hors sujet pour des entreprises à faible endettement ».
« La valorisation a toujours été le talon d’Achille de la thématique »
Carl Auffret le reconnaît, les valorisations « étaient un peu tendues en 2021 », surtout sur le segment des logiciels, du paiement et de la cosmétique. Toutefois, il faut prendre du recul selon lui. Il ne faut pas se focaliser sur les PE 2022. Cet indicateur est statique et il ne reflète pas la qualité du bilan ni les cash-flows de l’entreprise, selon lui. Le plus important est la dynamique de croissance de l’entreprise, sa profitabilité. « Nous sommes aveuglés par 2022 », il faut regarder plus loin. Au-delà de 2023, les valorisations sont plus raisonnables.
Le principal moteur de performance des valeurs de croissance reste l’évolution des bénéfices par action et la dynamique est bonne. « Elle est structurellement supérieure à la moyenne du marché ». Les opérations de fusion-acquisition sont également un moteur puissant même si secondaire. Le gérant estime que l’environnement va rester favorable : « la hausse des taux n’est pas suffisante pour remettre en cause les politiques de M&A ». Certes, les coûts de financement vont être revus à la hausse, mais les multiples de valorisations vont être revus à la baisse, selon lui.
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Article rédigé par H24 Finance. Tous droits réservés.
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